Docteur Ruki Akuma

Nom et prénom
Ruki AKuma

Surnom
Docteur Ruki

Groupe
Firefly

Âge
26 ans.

Travail
Meunier

Taille et poids
1,62 m – 50 kg

Cheveux
Japonais d’origine, ses cheveux auraient dû être normalement noir, mais il se trouva qu’il n’aimait pas trop cette couleur. Tout le monde dans sa famille était aussi terne les uns que les autres, alors il opta pour une couleur plus clair, sans être pourtant extravagante, soit le blond. Bien sûr, ce n’était pas sa principale préoccupation, il ne passait pas son temps à y mettre du revitalisant pour les rendre beaux et soyeux, mais deux à trois fois par an, il s’arrangeait pour que les vestiges de son ancienne couleur disparaisse à nouveau. Il les laissa libres de leur mouvement, leur donnant une allure assez décoiffée, dont il ne se souciait guère d’ailleurs.

Yeux
Ayant de léger trouble de la vue, malheureusement myope sur les bords, Ruki est sensé porter des lunettes. Mas voilà, il n’aime pas cela, c’Est encombrant et inconfortable. Et comme il n’a pas envie de se préoccuper de quelconque argent, au lieu d’acheter des verres de contacte dans les magasins spécialisés à cet effet, il subtilise ceux de ses victimes. D’habitude, ses yeux sont bruns foncés, mais pour l’instant, ses verres, légèrement excentriques, bien qu’il s’en moque, présentent un fond noir avec des formes d’un bleu turquoise, visible uniquement de près.

Apparence générale
Allure nonchalante, Ruki marche toujours très lentement et très calmement. Il ne se casse pas la tête question vêtement et prends les premiers trucs qui lui passent sous la main. Ayant vécu une grosse partie de sa vie dans des séries de petits villages, il s’en est tenu à des chemises à carreau avec jeans simples. Il a un collier autour du cou, le genre qu’il a dû trouver sur une de ses victimes, sans qu’il ne se souvienne vraiment laquelle, et est percés aux oreilles, de nombreuses fois. S’il s’en rappelle bien, ça s’est déroulé quand il était à l’université. Quoi dire d’autre, c’est bien rare de le voir sans sa cigarette à la main. Il aime bien la nicotine, ça détruit les cellules du poumon à merveille, ça dérange beaucoup de monde, et ça laisse des traces de brûlure assez jolies à voir. Puis qu’il aime les belles choses, il se maquille souvent le visage. Après tout, il a des traits tout à fait commun, alors, histoire de passer le temps, il prend ce qu’il qualifie de peinture et s’en badigeonne un peu partout jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Mais en fait, il se concentre surtout autour des yeux.

Crime(s) commis
Ruki a commencer jeune ses méfaits, bien qu’au début, ils étaient sans grande importance. Au début, il piquait des bonbons dans les magasins. Pas sa faute, c’était si coloré, c’était tout joli. D’ailleurs, la plupart du temps, il ne gardait que les emballages, pas si accroc au sucre. Après, il entrait clandestinement dans la chambre de ses parents, pour piquer le maquillage de sa mère et faire des jolis dessins rouges sang sur son visage. Ensuite, c’est leur argent qu’il commença à piquer, pour s’acheter des jouets amusants, coupants. Plus grand, il était kleptomane, et quand il voyait un truc qui brillait et qui était joli, il le prenait, sans aucun remord. Bref, tous des petits trucs sans grand importance. Mais bientôt, ce sont des meurtres qu’il commit, précédés de longues séances de torture, souvent accompagnés d’enlèvements et manipulation brillantes. Il est aussi coupable de cannibalisme, aimant bien la chair humaine qu’il avait goûté par mégarde plus jeune.

Caractère
Ruki est, comment dire, déconnecté en fait. Il n’a strictement aucune notion du bien et du mal, et évolue dans un monde à part ou tout ce qu’il fait lui semble normal. Il agit comme si tout, absolument tout, avait été mis à sa disposition pour qu’il se serve quand bon lui semble, d’où sa tendance kleptomane. On l’accusait de vol, mais même ce mot ne signifiait rien dans sa tête. Et quand on l’embêtait bien, sûr, avec un regard vide d’expression, il faisait rapidement couler le sang de ces personnes, soit à l’aide d’objet tranchants, soit en leur fracassant la tête contre des murs ou des dallages en béton. Ruki a un autre trait très particulier dans son caractère. Il a beau être ce qu’on qualifierait de psychopathe, il se trouve que celui-ci adore les jolies choses, et rendre les choses jolies. Il est clairement évident que ce que lui trouve beau ne rejoint pas toujours les goût de la population en général, mais c’Est quand même une chose qu’il juge importante. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il se maquille, et pour laquelle il maquille ses victime, et même ce petit Kyo qu’il avait trouvé. Mis a part donc le maquillage, il a aussi un fort attrait pour le corps humain, aimant autant son apparence interne qu’externe. En fait, il torture et assassine les gens dans le seul but de pouvoir voir leurs jolis organes, leur beaux muscles, leurs magnifiques vaisseaux sanguins, et de pouvoir s’en délecter. De toute façon, son intelligence, hérité de ses parents en fait, lui a permis de faire des études renommées de médecine. Il a même sa carte de médecin, obtenue sans trop de difficulté, possède la petite trousse élémentaire avec scalpels, pinces, forceps, et autres outils amusants. Bref, il a tout ce qu’il lui faut pour combler son désir de sanglant qui, pourtant, n’est que purement esthétique pour lui.

Histoire
Ruki, chanceux qu’il était, est né dans une très bonne famille, une famille qui avait la meilleure réputation de son village. Il était le fils du médecin et de la directrice de l’école du village. Les deux exerçaient parfaitement leur rôle et éduquaient leurs enfants à la perfection. Il était le petit dernier de la famille, avec deux grandes sœur et un grand frère. Chacun de ceux-ci avaient toujours 1 ou deux ans d’écart entre leurs nassance. Seul lui était à part, de cinq ans le cadet de sa dernière sœur. Chaque fois qu’il les regardait, il ne se sentait vraiment pas attaché à eux. D’ailleurs, tout le monde avait remarqué qu’il était différent, plus renfermé, ne s’exprimant jamais. Souvent, pendant les vacances, il disparaissait pendant la journée et ne revenait que le soir venu, dans le seul but de se nourrire avant d’aller s’enfermer dans sa chambre. Heureusement, les villageois veillaient sur lui pendant ses escapades, pour ne pas qu’il lui arrive malheur, mais tout le monde était bien inquiet pour cet enfant. Personne n’imaginait les problèmes mental qui perturbaient son jeune esprit et, une fois qu’il fut assez éclairé pour comprendre l’existence des autres, vers le milieu de son adolescence, un brusque changement s’opéra. Brillant qu’il était, ayant toujours eu d’Excellents résultats à l’école, malgré sa conduite pour le moins particulière, il avait compris que, s’il faisait exactement ce qu’on attendait de lui, personne ne viendrait l’embêter. C’était bien pratique tout cela, lui qui se faisait un point d’honneur à cacher ses séances de maquillage, de lecture de livres à rituels ou sanglants. Sagement, au fil des jours, un sourire s’afficha sur son visage et il manipula tout le monde.

Vers la fin de ses études secondaires, il ne savait malheureusement pas dans quelle branche se diriger. Son père décida donc à sa place, avec son accord bien sûr. Il l’emmena avec lui, assister à diverses opérations, soit à cœur ouvert, ou du type permettant de bien voir l’intérieur du corps humain. Et c’est en voyant cela que Ruki eut une révélation. Il voulait en voir plus, encore plus, beaucoup plus. Chaque fois qu’il entendait que son père avait à faire ce genre de chirurgie, il lui demandait pour y assister, au grand plaisir de son père qui était content de voir quelqu’un dans sa famille allait suivre ses traces. Non content de ces interventions trop rare, c’est à cet âge là, 17 ans, qu’il commença ses séries de meurtre. Histoire de ne pas se faire pincer, il alla dans les villages voisin, pendant la nuit, quand tout le monde dormait, pour enlever des personnes qu’il ne connaissait pas et commencer son rituel sur celles-ci. Il allumait des bougies, les maquillait même, puis commençait son « opération » avec les outils lui passant par la main. Il se sentait tellement bien à ces moments, il pouvait voir le cœur battre, encore et encore, puis, lorsqu’il le crevait, le sang giclait, telle une merveilleuse fontaine, à plus de deux mètres de haut. Et il pouvait le sentir dégouliner sur sa peau, dans ses cheveux, et il aimait ça, c’était bon et beau. Il prit donc cette habitude, et la conserva quand il alla à la ville pour étudier la médecine, à l’université. Et, bizarrement vous allez me dire, jamais il ne se faisait prendre. Après tout, difficile pour les policier de faire un lien entre lui et ses victimes, puisqu’il ne les connaissait même pas, les sélectionnaient au hasard. Et de toute façon, pour le peu qu’il en restait à la fin de ses petits amusement, il arrivait plus souvent qu’autrement qu’on ne retrouvait même pas les corps.

Adulte qu’il était maintenant, ayant finit ses études et obtenu sa licence pour pratiquer, il décida d’aller s’installer dans un premier village. Il y exerça quelques semaines à peine le métier de médecin, mais arrêta bien vite. Ce n’était pas amusant, il ne pouvait pas faire tout ce qu’il voulait, ça l’ennuyait. Chaque fois, il devait réparer les tissus, au lieu de pouvoir les explorer en profondeur. Il déménagea donc rapidement, très loin de là, et décida de passer inaperçu en devenant fermier. Il s’occupait à peine de quelques animaux, mais ça lui passait le temps, et ça faisait une bonne couverture pour massacrer les gens dans la partie des installations réservée à l’abattage des bêtes. C’est un jour qu’il se promenait tranquillement, à la recherche d’un ou d’une villageoise à « explorer » qu’il tomba sur la chose la plus adorable qui soit. Cet être était tellement mignon, il n’en revenait pas. Il fut immédiatement attendrit par son apparence, mais bien plus par sa façon d’agir si hors du commun. Le pauvre parlait à peine, ressemblait et agissait tel un animal. Tout de suite, il décida de le prendre sous son aile et lui appris à parler dans des circonstances particulières. En fait, son premier réflexe fut de lui montrer toutes les parties du corps humain, sur un modèle vivant, bien sûr. Il l’initia donc bien vite à l’art de la torture, quoiqu’il semblait avoir déjà de très bonnes bases, sans être pour autant très discipliné. Il apprit également que la mère de ce garçon était complètement cinglé, et sourit d’amusement lorsque qu’il fut couvert du sang gicla de la jugulaire de cette dame lorsque son ami Kyo avait décidé de lui arracher un morceau de gorge pour le défendre. C’était tout simplement trop mignon de le voir se débattre ainsi sur ce corps, alors il lui proposa de le bouffer, et c’est ce qu’ils firent joyeusement.

C’est ainsi qu’il se fit un ami, qu’il s’amusa à le maquiller en permanence, le rendant encore plus joli, et qu’il s’amusa même avec son corps. Après tout, une si jolie chose, ça donnait des envies qui se comblaient de la façon la plus délicieuse qui soit. Bref, tout allait bien pour eux, mais Ruki commençait à trouver cela bien ennuyant de savoir que tout le monde les rejetait simplement parce qu’ils étaient différents. Ils parcoururent donc bon nombre de villages, jusqu’à ce qu’ils tombent dans le comté de Willow où, semblait-il, une famille cannibale se cachait. Excité à l’idée de présenter ses recettes culinaires cannibales, il décida d’y vivre et de faire partie de ce joyeux camp des Firefly. Mais il avait gardé son habitude de passer inaperçu, alors il s’acheta un petit moulin et, meunier qu’il était devenu, il faisait tranquillement de la farine dans ses heures perdues.

Armes
Eh bien, il traîne perpétuellement avec lui sa petit trousse de médecin contenant tout le nécessaire pour faire une opération chirurgicale, dont des objets bien tranchants. Sinon, parfois, il aime bien les minces fils de fer, ça coupe bien ces trucs là, et c’est toujours plus pratique pour examiner un cerveau d’avoir juste la tête, sans le corps encombrant en dessous.

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Personnalité sur l'avatar
Ruki, du groupe Gazette (c’est du J-rock^^)

Rang
« Médecin » en herbe